La petite Suzanne a pointé le bout de son nez, —qu’elle a tout petit— un 13 septembre, au seuil de l’automne donc. et il était légitime que notre petit village gaulois réfractaire honore son apparition auprès de son ambassadeur de père qui vient régulièrement exalter son trop plein d’énergie dans le creuset de nos peignées aïkidokesques.
L’assistance attendrie (et il en faut beaucoup pour l’attendrir !) a donc tendu vers les paluches de grizzli du daron tout neuf un nounours plus Teddy que nature, comblant de joie l'heureux géniteur.
Une peluche destinée à sa babillante petite restée au chaud dans les bras de sa Maman dont l’absence, bien que compréhensible, fut amèrement regrettée. Une absence que nous compenserons par ce dessin qu’elle a elle-même réalisé, attendu qu’elle s’illustre, par le fait professionnellement, dans l’illustration.